samedi 6 mai 2017

BIENTÔT À L' ÉLYSÉE !!!

Après la Maison Blanche, ce sera bientôt au tour du Palais de l' Élysée d' accueillir son nouveau P-résident...
Beaucoup d' encre a déjà coulé et trop de commentaires ont été formulés concernant la situation géopolitique de notre si belle planète bleue ; mais les problèmes existentiels des humains qui la peuplent semblent toujours plus difficiles à résoudre, malgré tous les progrès et découvertes scientifiques réalisés ces dernières décennies...
L' Antichrist a réalisé les prophéties le concernant et la Kabbale luciférienne doit suivre son cours afin que se poursuive la réalisation du plan de Dieu, qui se rit des dirigeants mondiaux rebellés contre Lui. Il faut que se réalise  la suite de la première prophétie concernant l' humanité, impliquant Michel et Lucifère...

                                                         DSCN0231

(Genèse 3:15) [...] Je mettrai une inimitié entre toi et la femme, entre ta semence et sa semence. Il te meurtrira à la tête et tu le meurtriras au talon. ”


Je me limiterai donc à rappeler les Psaumes suivants que le roi David, ancêtre du Messie — dont la manifestation approche — écrivit de manière prophétique afin de rassurer ceux et celles qui, à notre époque, ont la perspicacité nécessaire pour comprendre qu' il est temps de retourner vers Sion pour se réfugier dans le NOM de YHWH, le DIEU de l' Israël Spirituel :

                                                           

Au directeur, à l’octave inférieure. Mélodie de David.

12 Sauve[-moi], ô Yahwéh, car le fidèle est arrivé à sa fin ; car les hommes loyaux ont disparu parmi les fils des hommes.  
2 On se dit sans cesse des mensonges l’un à l’autre ; d’une lèvre doucereuse sans cesse on parle d’un cœur double.  
3 Yahwéh retranchera toutes les lèvres doucereuses, la langue qui profère de grandes choses, 
4 ceux qui ont dit : “ Par notre langue nous l’emporterons. Nos lèvres sont avec nous. Qui sera notre maître ? ”  
5 “ À cause du pillage des affligés, à cause des soupirs des pauvres, maintenant je me lèverai ”, dit Yahwéh. “ Je [le] mettrai en lieu sûr, [le protégeant] contre quiconque souffle sur lui. ”  
6 Les paroles de Yahwéh sont des paroles pures, [elles sont] comme de l’argent affiné dans un four de fusion en terre, [et] sept fois épuré.  
7 Toi, ô Yahwéh, tu les garderas ; tu préserveras chacun d’eux de cette génération, pour des temps indéfinis.  
8 Tout autour circulent les méchants, parce que la bassesse s’élève parmi les fils des hommes.


Au directeur. De David. 
14 L’insensé a dit dans son cœur : “ Il n’y a pas de Yahwéh. ” Ils ont agi d’une manière perverse, ils se sont montrés détestables dans [leur] conduite. Il n’y en a pas un qui fasse le bien.  
2 Quant à Yahwéh, du ciel il a abaissé son regard sur les fils des hommes, pour voir s’il existe quelqu’un qui soit perspicace, quelqu’un qui cherche Yahwéh.  
3 Tous se sont écartés, [tous] sont également corrompus ; il n’y en a pas un qui fasse le bien, pas même un seul.  
4 N’ont-ils pas acquis de connaissance, tous ceux qui pratiquent ce qui est malfaisant, eux qui dévorent mon peuple comme ils ont mangé du pain ? Ils n’ont pas invoqué Yahwéh.  
5 Là, ils ont été remplis d’un grand effroi, car Yahwéh est parmi la génération du juste.  
6 Vous faisiez honte au conseil de l’affligé, parce que Yahwéh est son refuge.  
7 Ah ! que vienne de Sion le salut d’Israël ! Quand Yahwéh ramènera les captifs de son peuple, que Jacob soit joyeux, qu’Israël se réjouisse.


Mélodie de David. 
15 Ô Yahwéh, qui sera l’hôte de ta tente ? Qui résidera dans ta montagne sainte ?  
2 Celui qui marche de façon intègre et qui pratique la justice, et qui exprime la vérité dans son cœur.  
3 Il n’a pas calomnié avec sa langue. À son compagnon il n’a fait aucun mal, et il n’a pas proféré d’outrage contre son intime.  
4 À ses yeux l’homme méprisable est bel et bien rejeté, mais il honore ceux qui craignent Yahwéh. Il a juré pour ce qui est mauvais [pour lui], et pourtant il ne change pas.  
5 Il n’a pas donné son argent à intérêt, et contre l’innocent il n’a pas pris de pot-de-vin. Celui qui fait ces choses ne chancellera jamais. 

                                                             106239516

samedi 15 octobre 2016

Adieu ? petites chèvres et brebis replètes !

Adieu, petites chèvres et brebis replètes ?


 Vous choisissez de rester sur ce navire qui vous emporte vers un horizon blême  camouflé par les brumes matinales ; mais je vous comprends car votre sauvetage comporte le risque de vous mouiller et peut-être même de vous noyer selon votre manque de foi... Vous vous laissez emporter par ce confortable navire voguant par-dessus les abysses vers l' indicible néant, poussé par le vent  puissant de l' humanité.
 Vous nous trouvez ridicules de ramer ainsi à contre-courant sur notre frêle esquif, peinant contre ce vent mauvais qui nous sépare les uns des autres et nous éloigne rapidement. 

 Mais notre horizon à nous est lumineux et éternel ; c' est notre foi qui déjà nous le montre, et Dieu nous a confié que, bientôt, nos yeux prendraient le relais.



 Que nous importe donc si, sur votre "insubmersible," nous sommes le sujet de vos rires, un opprobre pour les hommes et méprisables parmi les vôtres ! La Vérité n' est-elle pas la Voie essentielle vers la vie éternelle ici bas ? 



 Vous refusez d' entendre les guetteurs et de voir les signes révélateurs qui vous font mal aux yeux,  préférant le confort de l' Egypte et de la grande Babylone où réside Lucifer. Vous voulez croire à de vielles fables juives habillement inventées par des fous qui se prétendent sages ; des prédateurs voulant être des enseignants de la Loi, mais ne comprenant ni les choses qu' ils disent ni celles sur lesquelles ils se montrent si fermes dans leurs affirmations.


Car la période annoncée est arrivée ; celle où les hommes ne supportent plus l’enseignement salutaire. Période pendant laquelle, selon leurs propres désirs, ils se choisissent des enseignants pour eux-mêmes, afin de se faire agréablement caresser les oreilles par de funestes promesses que leur fait miroiter par ces personnes interposées, Lucifer, le dieu de ce monde.

Bernard-Henry Lévy : fervent adorateur de Lucifer.

 À Yahwéh appartient la Terre et ce qui la remplit. Mais qui pourra se lever en Sion, son saint Lieu  venant sur notre planète ? Celui qui a les mains innocentes et le cœur pur. Qui ne s' est pas tenu dans la voie des pécheurs et ne s' est pas assis sur le siège des moqueurs.  Qui n’a pas prêté serment avec tromperie et a mis ses pas dans les pas du  Messie  qui revient  pour mettre fin aux ignobles nuisances de Lucifer et des autres anges déchus qui égarent la Terre habitée, tout entière.



 Merci, Fils de David, de revenir pour rassembler tes brebis en Sion, la ville qui a de véritables fondements ; et, bon vent, petites chèvres et brebis replètes ?



dimanche 28 août 2016

"Comme de petits enfants", Vierges de Sion

Ô dame, toi qui en Éden, — après que le péché fût entré dans le monde — fus choisie pour enfanter les petits enfants de YHWH selon la promesse qui, bien plus tard, fut faite à notre père Abraham, sois éternellement bénie ! Car il y aura toujours chez toi : faveur imméritée, miséricorde et paix de la part de Dieu et de son Messie משיח mashia'h (Hébreu) ;  Mahdi  مَهْديّ ( Arabe) Tes filles et tes fils, vierges de Sion, refusent d' encore souiller le temple dont ils sont les pierres vivantes, et dans lequel l' esprit de Dieu habite. 

Selon sa grande miséricorde Yahwéh leur a donné une nouvelle naissance pour une espérance de vie éternelle sur la Terre, grâce à la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, un héritage inaltérable.

Que tes enfants ne soient pas intrigués par l’incendie qui est au milieu d' eux comme s’ il leur survenait quelque chose d’étrange car c' est afin de les éprouver ; mais au contraire,  qu' ils exultent en silence puisqu' ils participent aux souffrances du Christ pendant cette dernière période de séparation ; et qu' ils continuent de sonner du shoffar pour  les égarés — que l' ennemi cerne sans qu' ils ne le discernent — afin qu' ils revienent vers toi et bénéficient de la lumière de tes prémices qui les guidera vers les sources de vie.


Dans la nuit des temps, nos opposants n' ont cessé de courir après le vent et contre le temps, toujours annihilés par Lucifer et ses chimères. Ils ont choisi — trop nombreux pour être uniques — le chemin de Caïn, et leur foi est dans le nombre... tandis que la nôtre est dans l' Unique !

Ces enfants d' Agar confondent les enfants de Sara et les canards sauvages ; du gibier que l' on abat dans les brumes de l' aurore pendant qu' à l' Orient point l' étoile brillante du matin.


Mais à présent, ô dame, pousse des cris de joie, toi la stérile, qui n’avais pas encore connu les douleurs de l' enfantement ; car tes enfants sont plus nombreux que les enfants de ta servante !



Jean Snaps






lundi 7 mars 2016

" Ne touchez à rien" !


Il serait utile que les administrations communales de nos campagnes fassent écouter cette très belle chanson aux citadins râleurs qui s' en vont peupler les villages en voulant y imposer leur mode de vie...

885_001



Dernièrement, une vieille dame octogénaire voulut faire un feu dans son jardin, comme elle le faisait depuis toujours. 














Son voisin, grand adepte des barbecues estivaux, fraîchement débarqué de la ville et fort du règlement de police, vint lui faire remarquer que la fumée incommodait son épouse, tout en menaçant la vielle dame d' appeler la police si le feu n' était pas éteint immédiatement.
images-16
La récidiviste récalcitrante  n'obtempérant pas aux menaces, la police fit irruption sur les lieux du "drame" dans les plus brefs délais pour désamorcer de justesse, une terrible catastrophe communale et infliger une amende à l' infortunée incendiaire...

Trêve de commentaires, je vous invite à écouter cette chanson de Barbara Deshamps : merveilleuse auteure, compositrice, interprète que l' on vient de me faire découvrir.



Ses chansons sont un véritable régal faisant frissonner l' âme tout entière.

mardi 9 février 2016

"LES IMBECILES HEUREUX QUI SONT NES QUELQUE PART"

  Toute créature est née quelque part mais il y a une sacrée flopée d' humains qui s' enorgueillit exagérément de l' endroit où il ont vu le  jour, et ils tirent également souvent fierté d' autres critères plus subjectifs ou symboliques, tels que : la race, la langue, la couleur, le nom,  la situation, la religion, la fortune ou l' infortune, le niveau d' instruction, le sexe, la nationalité, etc., qui augmentent encore l' importance qu'ils se donnent en regard de ceux qui leur sont différents
  Ce sont ces gens là que Georges Brassens nommait : "les imbéciles heureux qui sont nés quelque part" et dont beaucoup  sont toujours prêts, "s' il le faut", à tuer leur prochain trop "différent" d' eux.
  Il en va ainsi depuis que le monde est monde, depuis le premier acte d' égoïsme par désobéissance à Dieu car il semble manifeste que le racisme et le sectarisme sont toujours engendrés par l' Egoïsme : première religion de l' humanité, fondée par le premier escroc de l' Univers, ce satané diable de Lucifer.



La ballade des gens qui sont nés quelque part (with English subtitles)



   Si les esquisses humoristiques ci-dessous,  de Pierre Desproges et Luis Rego ne vous font pas rire, il se pourrait que vous ayez un problème au niveau de votre égo et que, de ce fait, vous fassiez partie des "imbéciles heureux qui sont nés quelque part". Si hélas vous deviez constater cette probabilité, rappelez-vous qu' il n' y a que les vrais imbéciles qui ne changent jamais l' état de leur esprit car il sont heureux ainsi, convaincus et donc, cons et vaincus de par les mensonges de Lucifer et ses démons. 

"LES IMBECILES HEUREUX QUI SONT NES QUELQUE PART"   

( Cliquez sur le titre ci-dessus pour voir les 2 vidéos suivantes svp )




Luis Rego la journée d'un fasciste Tribunal des Flagrants Délires Acc. Le Pen, Sept. 1982




Je ne suis pas né dans un pays mais sur une planète... Et vous ?


Maxime Le Forestier Né Quelque Part 1988
 Sans commentaire...
Mc Solaar - La vie est belle

mercredi 27 janvier 2016

BIENVENUE JEANNE !


Collegiale_nivelles_2 (1)        Unknown-3
  Cher Monsieur Michel,

  Le 21 janvier de cette année 2016, je me trouvais par la force des choses et un peu par hasard, à la taverne "l'Union", en face de mon ami Jean de Nivelles qui refusait de quitter son poste de guet pour partager mon repas.

  C' est ainsi que, pendant que nous conversions à distance au sujet des nouvelles des environs — lui, à côté de sa cloche, et moi, devant ma tarte al djote... et ma "Brugse Zot" —, Jean me dit soudain qu' un ange venait de lui souffler à l' oreille qu' un heureux événement était en train de se produire dans les hautes sphères de notre petite Belgique ; mais il n' en savait pas davantage...

dyn002_original_640_480_pjpeg_2624192_9153d87bf4e3bcec9d2e8fbf26d1fb8e (2)           Unknown-2
   Ce n' est que le surlendemain que j' appris qu' une petite Jeanne était née à notre Premier Ministre.

   Jean de Nivelles m' a donc demandé de vous dire combien nous appréciions votre choix d' avoir prénommé la petite : Jeanne, comme nous le fûmes au masculin.
media_xll_8337390 (1)

  Nous vous félicitons donc tous les trois : votre compagne Amélie d' abord, qui fit le plus gros du "travail", vous ensuite, Charles, ainsi que le grand frère du bébé.

  Mais c' est surtout à Jeanne que nous voulions souhaiter la bienvenue dans ce monde qui, tel un phoenix, renaîtra bientôt de ses cendres, et que Jean et moi-même guettons attentivement depuis nos tours respectives : l' un, armé de son marteau pour sonner la cloche, l' autre, de sa Bible pour sensibiliser les coeurs et les consciences.

    Je ne voudrais pas terminer notre message sans féliciter aussi les grands-parents, Louis et son épouse, qui doivent être fiers comme Artaban. 

   Longue vie à Jeanne et les siens !

   Jean et Jean

                                                           Donner La Vie (Hôpital Jeanne de Flandre)

dimanche 24 janvier 2016

 Bel exemple de miséricorde !
  Le mot miséricorde s’applique le plus souvent à une action positive, une expression de considération ou de pitié qui soulage ceux qui sont défavorisés et qui, de ce fait, ont besoin de miséricorde.
samaritain (1)

Cette définition est bien illustrée par une parabole de Jésus, celle du Samaritain qui vit un voyageur qu’on avait dévalisé et battu, étendu au bord de la route. Il agit en “ prochain ” de l’homme, car, pris de pitié, il " se montra miséricordieux envers lui " en soignant ses blessures et en prenant soin de lui. 


images-4











    Un chauffeur de taxi new-yorkais a écrit : 
   — Je suis arrivé à l'adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonnai à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée je pensais partir mais, finalement, je me suis stationné afin d' aller toquer à la porte.


   — « Juste une minute », répondit une voix âgée.

stock-photo-70216351-sad-senior-lady (1)
   Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.
   Après une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme, probablement nonagénaire, se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette comme une actrice de film des années 1940.
   À côté d'elle, une petite valise en carton. L'appartement semblait n' avoir abrité personne depuis des années car tout le mobilier était recouvert de draps.
  Il n’y avait pas d'horloge au mur, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les meubles. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos.




   — « Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'à la voiture ? » me demanda-t-elle. J'ai porté la valise jusqu’à mon véhicule et m' en suis retourné pour aider la vieille dame.
  Elle prit mon bras, et nous marchâmes lentement vers le bord du trottoir.
  Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n'est rien », lui dis-je  « J'essaie simplement de traiter mes passagers comme j' aimerais que ma mère soit traitée. »
  — « Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. 



  Quand nous arrivâmes dans la voiture, elle me donna une adresse, puis demanda : «Pouvez-vous passer par le centre-ville?»
  — Ce n'est pas le plus court chemin, répondis-je.
 — « Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressée car je me rends au centre de soins palliatifs. »
   Je regardai dans le rétroviseur, ses yeux scintillaient. 
  — Je n'ai pas de famille, reprit-elle d'une voix douce. 
  — Le docteur dit que je n'en ai plus pour très longtemps. 
  J'ai discrètement arrêté le compteur.
   — Quelle route voudriez-vous que je prenne ? demandai-je.
   Pendant les deux heures qui suivirent, nous roulâmes à travers la ville. Elle me montra le bâtiment où elle avait travaillé comme opératrice téléphone.

Image-2

   Nous traversâmes le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle me fit arrêter devant un entrepôt de meubles qui avait été une salle de bal où elle était allée danser dans sa jeunesse.
   Elle me demanda encore de ralentir devant quelques autres bâtiments particuliers, le regard perdu dans ses souvenirs ; mais lorsque le soleil commença à rejoindre l'horizon, elle me dit soudain : « Je suis fatiguée, j’aimerais que nous y allions maintenant ».



   Nous avons roulé en silence jusqu'à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice ressemblant à une maison de convalescence, avec un portique donnant accès à une allée.






   Deux infirmiers en sortirent et se dirigèrent vers le taxi. Ils étaient très attentionnés envers la vieille dame. Visiblement, ils attendaient son arrivée.
   J'ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. 
  La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.
   — Combien vous dois-je ? m’ a-t-elle demandé en ouvrant son sac.
  — Rien, lui dis-je.
  — Mais vous devez gagner votre vie, répondit-elle.
  — Il y aura d'autres passagers, lui ai-je répondu.
  Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
  — Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame, dit-elle, je vous en remercie. 
   Je lui serrai la main et me retournai. Derrière moi, une porte claqua... C' était, pour ainsi dire, le bruit d'une vie qui se termine.
images-3

   Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but, perdu dans mes pensées.
   Je n’ai pratiquement plus parlé le reste de la soirée...
  Que se serait-il passé si cette femme avait eu affaire à un chauffeur impatient et irréfléchi qui aurait refusé de prendre la course après avoir klaxonné plusieurs fois avant de partir sans plus attendre ?
  Après réflexion, je n' ai pas souvenance d' avoir déjà vécu un moment plus intense que celui-là car, il m' a rappelé combien la vie est éphémère et dépourvue de sens lorsqu'on ne tient pas compte des bienveillants conseils de Dieu, dont le Fils résida parmi nous pour nous enseigner, par son exemple, la miséricorde et toutes les autres vertus qu'implique l' amour de Dieu et des hommes, "notre prochain".

"La vertu attire toujours la vertu"   (Confucius)



Le bon Samaritain

25 Un enseignant de la Loi se leva et posa une question à Jésus pour lui tendre un piège. Maître, lui dit-il, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle ? 26 Jésus lui répondit : Qu'est-il écrit dans la Loi ? 27 Comment la comprends-tu ? Il lui répondit : "Tu dois aimer YHWH ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ton énergie et de toute ta pensée", et "ton prochain comme toi-même". 28 Tu as bien répondu, lui dit Jésus : fais cela, et tu auras la vie. 29 Mais l'enseignant de la Loi, voulant se donner raison, reprit : Oui, mais qui donc est mon prochain ? 30 En réponse, Jésus lui dit : Il y avait un homme qui descendait de Jérusalem à Jéricho, quand il fut attaqué par des brigands. Ils lui arrachèrent ses vêtements, le rouèrent de coups et s'en allèrent, le laissant à moitié mort. 31 Or il se trouva qu'un prêtre descendait par le même chemin. Il vit le blessé et, s'en écartant, poursuivit sa route. 32 De même aussi un lévite arriva au même endroit, le vit, et, s'en écartant, poursuivit sa route. 33 Mais un Samaritain qui passait par là arriva près de cet homme. En le voyant, il fut pris de pitié. 34 Il s'approcha de lui, soigna ses plaies avec de l'huile et du vin, et les recouvrit de pansements. Puis, le chargeant sur sa propre mule, il l'emmena dans une auberge où il le soigna de son mieux. 35 Le lendemain, il sortit deux pièces d'argent, les remit à l'aubergiste et lui dit : « Prends soin de cet homme, et tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rembourserai moi-même quand je repasserai. » 36 Et Jésus ajouta : A ton avis, lequel des trois s'est montré le prochain de l'homme qui avait été victime des brigands ?37 C'est celui qui a eu pitié de lui, lui répondit l'enseignant de la Loi. Eh bien, va, et agis de même, lui dit Jésus.  (Lc 10:25-37)